Umbrellology

Some readers will recall the Umbrellology theme of the Alphonse van Worden blog. There were collected images and bits of text to trace the umbrella as a trope of idealised property and proprietor, the prop(erty) and image of bourgeois individual owner-subjectivity, and to uncover the premises, argument, justification and romance of I and Mine condensed into the figure as motif in literature and art. The umbrella would be succeeded in this role of dominant trope of the proprietor subject, primary prop and figure of I and Mine, by the camera. Sadly (for me) those posts have all been lost to nicotine withdrawal.

But here's a kind of ghostly apparition as epilogue, something I came across today which not only illustrates powerfully the core of the case attempted at Alphonse van Worden but seemed to connect to topics lately touched on here and in the surrounding regions:


Tout Versailles est en fête. Elle se tait sanglante.
Le passant rit, l'essaim des enfants la poursuit
De tous les cris que peut jeter l'aube à la nuit.
L'amer silence écume aux deux coins de sa bouche ;
Rien ne fait tressaillir sa surdité farouche ;
Elle a l'air de trouver le soleil ennuyeux ;
Une sorte d'effroi féroce est dans ses yeux.
Des femmes cependant, hors des vertes allées,
Douces têtes, des fleurs du printemps étoilées,
Charmantes, laissant pendre au bras de quelque amant
Leur main exquise et blanche où brille un diamant,
Accourent. Oh ! l'infâme ! on la tient ! quelle joie !
Et du manche sculpté d'une ombrelle de soie,
Frais et riants bourreaux du noir monstre inclément,
Elles fouillent sa plaie avec rage et gaiement.
Je plains la misérable ; elles, je les réprouve.
Les chiennes font horreur venant mordre la louve.

Victor Hugo, L'Année terrible

(Bourgeois women holding "the carved handle of a silk parasol" dig about in the wound of the defeated communarde.)